Alénior d’Aquitaine, née vers l’an de grâce 1122-1124, est une femme dont la tête fut façonnée pour porter les couronnes ! Duchesse et comtesse de Poitiers d’abord, sa vie la mena bientôt au trône, du plus illustre des Royaumes ! Sa destinée se croisa à celle du futur Roi de France, Louis VII, le 25 juillet 1137. Demeurant ainsi confortablement sur le trône du Royaume de France, quinze ans durant. Longues années durant lesquelles, jouant de son influence auprès de Louis VII, Aliénor, le convainc de s’emparer de Toulouse, terre sur laquelle, elle affirme avoir une prétention filiale (Grand-Mère). C’est à cette occasion, qu’elle lui offre un somptueux vase de cristal qu’elle tenait de son grand-père Guillaume IX, cadeau du roi Taïfa de Saragosse, Imad al-Dawla, pour lui rendre grâce de l’action menée à son profit. Son influence s’exerça aussi en l’événement du mariage de sa sœur, Pétronille d’Aquitaine, aggravant vivement le conflit existant avec Thibaud de Blois. L’événement aura de pesantes conséquences sur Louis, mais qui seront partiellement réparée par l’intercession d’Aliénor en la journée du 11 juin 1144. Marie, leur fille, naquit l’année 1145.
Tenant couronne et vaillance, se joignit à Louis VII, dit le jeune puis le pieux, à la seconde croisade (1146-1149) prononcé le 25 décembre de l’an de grâce 1145. Mais, la croisade fit naitre une fracture. Les deux époux se constituent fâchés. Reproches faits au Roi et suspicions à l’encontre de la Reine, venant sceller la séparation. Un prétexte fut trouvé pour invalider l’union. Perdant la couronne du beau Royaume de France, Aliénor d’Aquitaine devient l’épouse d’Henri Plantagenet, futur roi d’Angleterre. C’est en ces conditions qu’elle devint, successivement, la tête couronnée de deux Royaumes distincts, dont la féroce dualité, trouva certainement son essence ici… Sa nouvelle union est une vraie bénédiction pour l’Albion, puisque cette dernière récupère de nombreux territoires français, en raison du titre de duchesse et de comtesse d’Aliénor, acquis le 9 avril 1137. Son influence se manifesta par la promotion des arts lyrics de ses chers troubadours du langue d’oc. Elle rend son dernier souffle de Reine angloise, à Poitiers le 31 mars ou le 1er avril 1204. Ainsi, s’achève l’histoire d’une femme au parcours couronné de trônes.
Anne de Bretagne, née en l’an de grâce 1477 à Nantes, le 25 janvier. Fille du duc de Bretagne, François II, succédant à celui-ci à sa mort, prit le titre de Duchesse. D’abord mariée par procuration à Maximilien 1er, ennemi du trône de France, violant ainsi le traité du Verger, contacté entre son défunt père et le Roi franc, Charles VIII. Peu après la dernière guerre franco-bretonne, s’achevant en l’an 1491, est célébré le mariage d’Anne et de Charles. Pour la première fois, elle parvint au trône de France. La nouvelle union permet la paix entre Duché de Bretagne et Royaume de France. À la suite des conquêtes de Naples et Jérusalem par Charles VIII, cette dernière se voit obtenir les titres de reine de ces acquisitions, dans le contexte des guerres d’Italie. Ils eurent six enfants, qui tous moururent en très jeune âge. Et comme un malheur ne vient jamais seul, c’est à Charles de périr lors d’un accident domestique, en ce frappant la tête sur le linteau d’une porte au château d’Amboise. Le malheureux roi n’ayant que 27 ans, fit de la reine de France, une veuve. Cette situation délicate dans laquelle se trouva la reine, ne tarda pas à se clarifier. Puisque après un bref retour prolifique à la tête du Duché de Bretagne, (restauration de la chancellerie bretonne, nomination d’un héritier, établissement d’une monnaie à son portrait…), quelques jours seulement, après le regretté roi, Anne en épousa un autre. Et 1499, vit célébrer le mariage d’Anne et de Louis XII roi de France. Là voilà, une nouvelle fois Reine du Royaume, tout en conservant , cette fois-ci, exclusivement les droits du Duché de Bretagne. Sous son joug, le sort des artistes sera glorifié. Tant et si bien, qu’elle est encore considérée aujourd’hui, comme étant la première Reine mécène du Royaume de France. Les appelants à sa cour, elle prit à son service ses plus illustres contemporains ; Jean Marot, Antoine Févin, Jean Mouton et bien d’autres encore. Elle rendue l’âme en l’an de grâce 1514, le 9 janvier à Blois. Une femme d’une habileté politique fine et dotée d’une intelligence certaine, les ayant conduites à honorer sa Terre-Natale nouvellement intégrée, ainsi que le somptueux Royaume de France, par deux fois.
Permettez, Cher Lecteurs, d’apprécier la présentation que voici, des Reines régnantes du Regnum Francorum. De la grande Blanche en passant par Sainte Jehanne, et pour conclure en la vie Catherine « la noire ».
Le 4 mars 1188 à Palencia, en Castille, fit voir la clarté du jour à la future Reine du Royaume de France,
Blanche de Castille. Fille d’Alphonse VIII de Castille et d’Aliénor d’Angleterre, elle est la petite-fille d’Aliénor d’Aquitaine. Sa vie auprès de sa famille étant peut exprimer, il nous est difficile d’affirmer la moindre information. Nous en savons davantage, en revanche, sur l’influence de sa grand-mère dans sa vie maritale. C’est Aliénor, qui convaincu des qualités de Blanche, va l’inciter à s’unir au futur Louis VIII. La célèbre grand-maman, l’amena jusqu’en Normandie, lieu de célébration de leur mariage. Le sacrement est rendu en l’église Saint-Martin de Port-Mort, le 23 mai 1200. Les jeunes époux n’ont alors que douze ans (pour Blanche) et treize ans (pour Louis). Les qualités remarquées fussent rapidement confirmées. Ce fut en bonne épouse très chrétienne, sincère et dévouée, qu’elle donna naissance à douze enfants, deux filles et dix garçons. Mais huit de ses enfants moururent, pour certains sans même atteindre l’adolescence. Mais comme un malheur annonce aussi un grand réconfort, après avoir surmonté avec vigoureuse piété, les tragédies qui frappèrent la famille de France, elle eut une offrande du ciel, lui permettant d’offrir à la France, son unique Roy canonisé. Ainsi naissait Louis ! Le 25 avril 1214, son second fils.
Sa capacité à enfanté n’était pas la somme de ses forces bien au contraire ! Après avoir surmonté une très douloureuse souffrance, survenue dans la mort de son époux, le roi, c’est en 1226, qu’elle prit la responsabilité du Royaume. Et conformément à la volonté de son défunt bien-aimé, elle fît sacrer Louis en la cathédrale de Notre Dame de Reims, mais assure la régence jusqu’à la majorité de ce dernier. La vie de Blanche, prit une tournure toujours plus douloureuse, puisque après les décès et prenant la lourdeur d’un pouvoir immense, elle se vit calomniée par des barons opportunistes, n’ayant pour seul désir de la salir et d’usurpé son trône. Dotée d’un véritable esprit combatif, doué d’un caractère qui ne serait céder concession à la mollesse, elle joue de ses qualités diplomatiques pour ramener les plus raisonnables à la raison. Et, employant son autorité pour imposer aux plus insubordonnés. Seulement, étant toujours en esprit de rébellion, Hugues X de Lusignan, ainsi que le duc de Bretagne Pierre Mauclerc, envisage la honteuse infamie d’enlever le jeune Louis. Se réfugiant dans la forteresse de Montlhéry, Blanche en appela au peuple de Paris pour assurer la protection de son futur Roy, ce que naturellement, un peuple qui se respecte, fit avec bravoure. C’est l’année 1229 qui marqua la fin des rebelles par la victoire des armées royales sur les insurgés. Tous rentrèrent dans les visions de la Reine et elle put assurer jusqu’en 1235, avec le bon concourt d’illustres précepteurs, l’élévation spirituelle de Louis ainsi que sa préparation aux décisions d’Etat. Sentant venir le temps de laisser place à son fils aux décisions royales et après l’avoir marié à Marguerite de Provence, c’est à la suite du départ de Louis pour la septième croisade (1248-1254), que Blanche reprit avec humilité et en toute qualité, la régence du Royaume de France, permettant de faire perdurer l’ordre et la continuité des actes royaux. Elle rendit son dernier souffle de malade à Melun (Paris) en novembre 1252, alors âgée de 64 ans. Elle fut Enterrée à l’abbaye de Maubuisson. Ainsi, était Blanche de Castille.
Voyant la clarté du jour au village du Duché de Bar, Domrémy, en l’année gracieuse et bénie de 1412. Petite paysanne pieuse et appliquée ne sachant pourtant « ni a ni b » selon ses propres mots, vit le cours de sa modeste vie bouleversée par l’appel du Seigneur. Alors, en surveillance du troupeau familial, Jehanne âgée de douze ans, vit l’apparition de l’Archange Saint-Michel, protecteur de la France, de Sainte-Catherine d’Alexandrie, patronne des philosophes et de Sainte-Marguerite Reine d’Écosse ! Ces visions, fondatrices, vont élever une âme juvénile et pure, à la plus haute dignité connue sur Terre. En cinq ans, ces majestueux Saints et Archange, vont façonner la Sainteté de la libératrice. Ainsi, cueillant sa dix-septième année, l’incarnation de la volonté du Tout-puissant, fut fin prête à rétablir l’ordre dans son royaume, lequel avait sombré dans l’immoralité et dans le vice. La situation du royaume de France est désastreuse, une grande pauvreté y règne et l’anglois est aux portes du royaume. Ces derniers comptant bien s’en emparer. Le châtiment ne tardant pas à se manifester, puisque Azincourt fit de la chevaleresque fine fleur française, un funèbre souvenir. L’orgueil avait été châtié par les arcs longs Anglois… C’est dans ce contexte, qu’en plus de 1400 ans de Christianisme, Dieu intervient directement pour sauvé un pouvoir temporel et Il choisit Jehanne pour exécuter son œuvre. Le Seigneur, fit cet unique honneur au peuple franc, de le sauver pour réaffirmer le pacte de Reims, contracté, entre Lui et la Famille de France. Jehanne, prit donc la route de Chinon pour rencontrer le futur Charles VII. À ce pauvre héritier légitime floué par une mère, Isabeau de Bavière, elle promit, couronne et sacre. À cela, Jehanne formule trois demandes à Charles :
Premièrement : de pardonner à tous ses ennemis.
Deuxièmement : D’intégrer au sein de son armée, des gens de toute extraction sociales, afin de répondre à l’orgueilleuse déconfiture militaire franque en incluant de la modestie.
Troisièmement : de céder son Royaume à Jésus-Christ.
Répondant favorablement et sans hésitation aux premières demandes de la pucelle, Charles resta silencieux quant à l’ultime demande. Mais, se laissant convaincre, quand celle-ci lui révéla le contenue de la prière qu’il adressa au Seigneur, pour obtenir de Lui la vérité de sa légitimité au trône de France. Subjugué puis convaincu, il laissa entre les mains de Jehanne sa destinée ! Elle y répondra avec bravoure, honneur et force. La voilà cheffe devant tous les autres. Elle, qui formée, par le Prince de la milice céleste, ne pouvait trouver nul homme pour la devancer. Dirigeant les armées et défaisant l’ennemi à moult batailles, triompha à Patay en ne laissant que trois Français morts pour deux mille cinq cents anglois laissés sur le carreau. Ce fut, à cette bataille que la revanche d’Azincourt fut prise et avec elle la volonté divine exécutée (Cf : le père Ayroll). Ainsi, une jeune fille innocente qui, après avoir consacré sa virginité à Jésus-Christ, après avoir été formé par les voix célestes faisant de l’enfant, la pucelle en chef des armées de Charles, lui apporte la victoire contre la promesse d’accepter ses demandes. Charles tenu sa promesse et céda ces quelques mots « Je vous donne mon Royaume ».
Jehanne devient Reine de France ! Et son premier acte en tant que Reine est d’une importance capitale et dont la contemporaine portée est encore aujourd’hui insoupçonnée. Elle remet son Royaume à Jésus-Christ, devenant Roy de France ! Donation ordonnée par un acte notarié que Jehanne intima de constituer dans l’instant ! Et par la voix de Jehanne, Dieu rend le Royaume à Charles, c’est ce que l’on nomme la « Triple Donation » ! Monseigneur Delassus ajoutera plus tard : « Il veut régner par la France et par la France sur le monde. » Ce fut le règne le plus éphémère de l’Histoire et le plus important. Aujourd’hui, son impact n’ayant encore pas trouvé toute sa finalité ! Rendez-vous compte amis lecteurs, qu’une Reine, vierge, extraordinairement vaillante, âgée de dix-sept ans seulement, fit de sa vie la volonté exclusive du Seigneur, dans l’objectif de confirmer une nouvelle fois sa prédilection pour notre peuple au point de nous faire l’immense honneur d’être Christ Roy de France ! Demeurant, vaillante et Sainte , Jehanne finit brulée, par la trahison de Pierre Cochon et la connivence de l’université de Paris avec l’ennemi, n’ayant que son cœur resté intact et battant après la crémation. Celui-ci fut jeté chaud dans la Loire par son bourreau. Effondré en sachant qu’il venait d’exécuter une sainte, courut chez un confesseur pour y trouver l’absolution. C’est, une sainte vierge de tout pécher, prêchant la confession obligatoire avant chaque bataille à son armée (car nul triomphe ne se peut sans état de grâce) triomphant de l’envahisseur, rétablissant la légitimité sur le trône royal, puis calomnié, abandonné et enfin trahi par les siens, ayant pour fin d’être consumée en martyr. Ne pourrait-on y voir là, une merveilleuse analogie à la vie toute divine de Jésus Christ ? Qui peut affirmer que Jehanne n’est pas la volonté du Tout-puissant ?
Caterina Maria Romola di Lorenzo de Medici dit Catherine de Médicis, née à Florence le 13 avril 1519. Elle est l’enfant de Laurent II de Médicis (1492-1519) et de Madeleine de la Tour d’Auvergne (1498-1519). Elle prospérera en Italie, patrie paternelle. La malheureuse enfant, ne vit pas longtemps le nez de ses parents, puisque ces derniers moururent sous trois jours pour sa mère et trois semaines pour son père, lui de la syphilis. C’est Clément VII, son cousin et Pape, qui en assura l’éducation. Succédant au titre de duchesse d’Urbino et de comtesse de Lauragais, ainsi qu’au titre de comtesse d’Auvergne au décès de ses parents et de sa tante, Anne d’Auvergne (1254). Mais la succession de titres ne s’arrêta point en si bon chemin puisque son mariage avec le futur Henri II, lui confère le statut de Dauphine et duchesse de Bretagne de 1536 à 1547. C’est en 1547, que sa vie prend une tournure royale; la voici reine de France jusqu’en 1559.
En bonne reine, elle donna à la France, bon nombre de rois et reines. De François II, à Charles IX, en passant par Henri III. De la reine Élisabeth (reine d’Espagne) à Marguerite (future épouse d’ Henri IV) jusqu’à Claude, duchesse de Lorraine et de Bar. Et c’est dans un contexte présenté comme un temps de guerre de religion, venant frapper le Royaume de France, que Catherine de Médicis, accède au pouvoir en qualité de régente de 1560 à 1563. Comme toute régences, il y a les honneurs du pouvoir et les obligations. Parfois, ces dernières, passent par la prise de décision que la postérité ne serait laissé sans tâche. Et celle du sang, est une tâche bien indélébile. Catherine « La, veuve noire ». Ce qualificatif, qui ne laisse que peu de doute quant à la considération des uns pour la Reine, semble ne pas lui venir uniquement du choix de la couleur son accoutrement. Il lui serait reproché, que dans sa finesse et dans son habilitée politique reconnue, elle ne manqua pas de duplicité et de scrupules. C’est après sa tentative avortée, d’une conciliation entre l’erreur (le protestantisme) et la vérité (le catholicisme), et avec le concours d’un certain Michel de L’Hospital, que les tensions s’enveniment. L”évènement de Meaux, initié par un chef protestant, un dénommé Louis 1er de Bourbon-Condé, survenu en 1567, fit s’accroître la méfiance de Sa majesté la Reine régente, puisque, il eut pour projet, le rapt du jeune roi de France, Charles IX. Tout ce tissu nerveux, entre protestant et catholique n’a pas pour objet la religion, mais bel et bien l’insubordination et l’hostilité envers la couronne catholique de France. Ces heurts, verront le règne des trois frères du trône royal, sous la menace pour deux d’entre eux, d’enlèvements. Ils auront également à subir, l’usurpation de leur royale autorité de certaines villes en possession du domaine monarchique, par les Huguenots. L’intronisation de troupes étrangères sur le territoire entraîne quatre batailles rangées contre le souverain Français. Dans cette ambiance mortifère qui pèse sur le pays, que Catherine tenta bien des édits, comme celui de Janvier permettant la liberté de culte au protestant en dehors des villes, et d’Amboise, n’étant qu’une veine entreprise de tolérance entre Condé, chef des protestants et Montmorency, chefs des catholiques. Elle prépara un mariage entre le futur Henri IV, protestant et Marguerite de Valois. Celui-ci, ne plaisant guère, ne diminua les troubles pour autant. Six semaines seulement après l’édit de Janvier (17 janvier 1562), signé par Charles IX (12 ans), sous la direction de sa mère, survint le massacre de Valmy. Les situations ne cessant de se cristalliser, conduisent au massacre de la Saint-Barthélemy, qui ne voit pas la religion y prendre part, comme nous le rappelle l’auteur, Charles Barthélémy dans son étude sur le sujet.
Voilà, ce qui, sous la dénomination mensongère de « guerre de religion », n’est en réalité qu’une conspiration tramée par les Huguenots à des fins purement personnelles, et que Catherine de Médicis, malgré une obscurité qui n’est pourtant pas de celle qu’on lui reproche, tenta de vaincre. C’est après avoir tenté de mêler l’impossible ; qu’elle perdit progressivement son influence sur les décisions de la cour, mais n’ayant cessé de continuer l’action artistique, œuvre de son beau-père, François 1er. Elle sera, par ailleurs considérée comme l’une des plus grandes mécènes du XVIe siècle, par la pension versée, pour son service, de bien des talents de l’époque, écrivains, artistes, musiciens, etc. L’ultime moment, celui d’en appeler à un confesseur, survint en l’année 1589. Les derniers sacrements administrés, elle succombe à la pleurésie, le 5 janvier à Blois. Ainsi, s’achève la vie d’une femme qui n’a pas fini de faire couler le noir sur le blanc.
Article signé : Benjamin Aubert
SOURCES :
Bescherelle : Chronologie de l’histoire de France : des origines à nos jours.
Wikipédia :
Blanche de Castille — Wikipédia (wikipedia.org)
« Ainsi était Saint-Louis » Jean-Noël Toubon
Catherine de Médicis — Wikipédia (wikipedia.org)
Catherine de Médicis, reine et régente de France (histoire-pour-tous.fr)
« Erreur et mensonges historiques vol.1 » Charles Barthélémy
Anne de Bretagne — Wikipédia (wikipedia.org)
Aliénor d’Aquitaine — Wikipédia (wikipedia.org)
Vidéos VoxGallia sur Anne et Alénior
Jeanne d’Arc — Wikipédia (wikipedia.org)
« La vraie mission de Jeanne d’arc : Jésus Christ Roy de France
L.H Remy et M.C Remy
Jeanne Revient ! Pourquoi ? Louis-Hubert Remy – Conférence de Noël 2016 (youtube.com)
Réflexion en ces temps troublés – Conférence de L-H REMY (youtube.com)
Et bien juste pour vous dire que vous faites un travail formidable, saint, j’ai même envie de dire. Je n’ai pour l’instant que deux livres de votre collection mais je compte bien en ajouter d’autres prochainement. Merci car je peux, grâce à vous, approfondir sérieusement mes connaissances avec des livres toutefois très accessibles.
Merci pour votre travail ! Il est précieux !
Merci pour tout, j’adore vos livres.
Merci pour ce travail magnifique qu’est de réhabiliter l’histoire de France
Je veux vous remercier particulièrement pour votre beau et admirable travail d’excellentes publications dont notre foyer bénéficie.
J’aimerais vous remercier, car grâce à vous, je redécouvre (et étudie) avec joie la beauté de l’Histoire de la France, la grandeur de la Fille Aînée de l’Église (qui je l’espère, retrouvera ses lettres de noblesse et sa Foi).
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Continuez à faire de si beaux livres !
Je vous remercie pour votre travail et les ouvrages passionnants proposés
Merci pour votre travail de réédition, je viens de finir le péril cathare que j’ai beaucoup apprécié. Ces lectures me font découvrir à quel point nous avons une belle et grande histoire. Merci à vous.
Merci beaucoup pour votre travail. C’est toujours un plaisir de commander un livre de votre édition !
Des livres de qualité je recommande fortement pour les passionnés d’histoire de France
impeccable pour nos jeunes à qui l’éducation nationale supprime des pans entiers de notre histoire.
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