Comme l’évêque de Poitiers, Marovée, était occupé à la visite de son vaste diocèse, Agnès la pieuse abbesse, le fit prévenir en toute hâte, et informa aussi le pontife de Tours du décès de la Bonne Mère. Grégoire partit aussitôt pour consoler la Communauté, et rendre les honneurs funèbres à celle qui a bien mérité de l’Église de Dieu et du royaume des Francs. Ce digne ami de Sainte-Croix trouva le corps de la bienheureuse Radegonde exposé dans un cercueil ouvert. Le visage était brillant et vermeil ; et il semblait que la mort lui eût rendu cette fleur de beauté que l’âge et les austérités de la pénitence lui avaient enlevée. L’aimable pontife assure qu’en voyant le saint corps, il n’avait entendu les Religieuses désolées se lamenter et pleurer comme si chacune d’elles eût perdu sa propre mère.
En présence de la dépouille mortelle et de la désolation des Filles de Sainte-Croix, l’évêque de Tours ne put s’empêcher de pleurer. Peu après se tournant vers l’abbesse, il dit :
Après avoir vainement attendu l’arrivée du Pontife, les magistrats de la cité, faisant violence à la délicatesse de conscience de l’évêque de Tours, lui adressèrent cette supplique :
Au nom de l’évêque de Poitiers, il présida donc les obsèques, en présence d’un nombreux clergé, des notables de la ville et d’un concours immense de fidèles. Dès les premiers chants, des possédés du démon se mirent à crier et à confesser la sainteté de la bienheureuse Radegonde.
Ne pouvant, d’après la Règle de clôture perpétuelle, accompagner le précieux corps jusqu’à l’église Sainte-Marie-hors-des-Murs les religieuses montèrent sur les murailles du monastère et prirent place aux fenêtres des tours pour accompagner de leurs yeux et de leurs cris déchirants le cher Trésor ravi à leur tendresse. Au milieu de cette désolation, on n’entendait que des gémissements à la place des Alléluia, en usage à cette époque. À un moment donné, pendant le parcours, un pauvre, aveugle depuis des années, recouvra subitement la vue, à la grande joie de l’assistance et surtout des chères recluses. Par respect pour la discipline ecclésiastique l’évêque de Tours se contenta de faire déposer le corps entouré d’herbes aromatiques, suivant la coutume chrétienne, à l’endroit choisi pour la sépulture, réservant à l’évêque de Poitiers l’honneur de faire fermer le tombeau, après y avoir célébré le Divin Sacrifice.
Depuis la vue rendue à l’aveugle, le Tout-Puissant n’a cessé de glorifier le sépulcre de sa fidèle servante par d’éclatants miracles. Ce vénérable sarcophage ne tarda pas à recevoir une magnifique crypte et l’église elle-même changeant de vocable devint une superbe basilique dédiée à la glorieuse Patronne de la ville et du diocèse de Poitiers, à la chère protectrice de la France catholique :
Perle précieuse de la couronne du Christ-Jésus.
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