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Publié le
10/11/2023

Épées célèbres : les 3 plus connues de notre histoire

La Joyeuse : l’épée de Charlemagne

L’épée Joyeuse est entourée de légendes et d’histoires qui varient en fonction des sources médiévales.

  1. Origine incertaine : L’origine précise de l’épée Joyeuse est sujette à débat. Certains pensent qu’elle aurait été forgée à la demande de Charlemagne lui-même, tandis que d’autres estiment qu’elle pourrait être une épée plus ancienne offerte à Charlemagne par le pape Léon III lors de son couronnement en tant qu’empereur du Saint-Empire romain au début du IXe siècle.
  2. Composition et décoration : L’épée Joyeuse est souvent décrite comme étant richement décorée, avec une poignée incrustée d’or et de pierres précieuses, et une lame en acier finement travaillée. Elle aurait été un symbole du pouvoir et de la royauté de Charlemagne.
  3. Légendes associées : Selon certaines légendes, l’épée Joyeuse avait des propriétés thaumaturgiques, comme la capacité de trancher n’importe quel matériau ou de briller d’une lumière surnaturelle. Elle aurait également été utilisée par Charlemagne dans de nombreuses batailles, ce qui renforcerait sa réputation de puissance.
  4. Héritage : L’épée Joyeuse est devenue un symbole de l’empire carolingien et est associée à la dynastie des Carolingiens. Elle a été transmise de génération en génération et a été utilisée dans diverses cérémonies royales et impériales.
  5. Emplacements actuels : Plusieurs épées ont été prétendues être la Joyeuse au fil du temps, et il existe aujourd’hui des épées qui prétendent être l’authentique Joyeuse. L’une de ces épées est exposée au trésor de la cathédrale de Saint-Denis à Paris, en France. Cependant, l’authenticité de ces épées est toujours sujette à débat parmi les historiens.

Une épée, qui semble-t-il sera la Joyeuse, fait partie des regalia lors du sacre des rois de France. Elles ont été déposées à la basilique Saint-Denis ; puis, épargnée lors de la destruction du sanctuaire par les révolutionnaires enragés, elle fait maintenant partie des collections du Musée du Louvre, à Paris. Elle y est exposée pour la plus grande joie du public. Le pommeau, élément le plus ancien de l’épée, remonterait au Xe ou XIe s, alors que Charlemagne, lui, a vécu entre le VIIIe et le IXe siècle.

Durandal : l’épée de Roland – (chanson de Roland)

Durandal est une épée légendaire qui a joué un rôle majeur dans les épopées de la littérature médiévale, en particulier dans le poème épique “La Chanson de Roland” (La Chanson de Roland) qui raconte la bataille de Roncevaux en 778. Voici quelques détails et anecdotes concernant l’épée Durandal :

  1. Origine légendaire : Selon la légende, Durandal aurait été forgée par le mythique forgeron Wayland (ou Vulcan) et aurait été offerte à Roland, neveu de Charlemagne, par l’archange Saint Michel. L’épée était réputée pour sa qualité exceptionnelle et sa résistance.
  2. La légende de la fissure : L’une des anecdotes les plus célèbres liées à Durandal est l’histoire de sa fissure. Lorsque Roland se trouvait dans une situation désespérée à la bataille de Roncevaux, il aurait tenté de briser Durandal contre un rocher pour éviter qu’elle ne tombe entre les mains de l’ennemi. Cependant, l’épée n’a pas été brisée, mais a plutôt créé une gorge dans le rocher, formant ce qui est maintenant connu sous le nom de la “Rocamadour.”
  3. Les pouvoirs : Dans certaines versions de l’histoire, Durandal est décrite comme ayant des propriétés thaumaturgiques, comme le pouvoir de protéger son porteur et de toujours remporter la victoire. Cependant, ces éléments sont souvent associés aux exagérations et aux embellissements courants dans la littérature médiévale.
  4. Héritage : Après la mort de Roland à la bataille de Roncevaux, Durandal est passée à divers propriétaires, y compris le chevalier héros français Olivier. L’épée est ensuite devenue un symbole de la bravoure et de la chevalerie.
  5. Différentes versions : La légende de Durandal a été racontée dans diverses œuvres littéraires au fil des siècles, et des variantes de l’histoire peuvent exister en fonction de la source. “La Chanson de Roland” reste la source la plus célèbre décrivant l’épée.

Durandal est l’une des épées les plus emblématiques de la littérature médiévale et de la culture chevaleresque, et son histoire est entourée de mystère, de légendes et d’interprétations diverses. Elle est devenue un symbole de la chevalerie française et de la bravoure au fil des siècles.

L’épée de Fierbois de Sainte Jeanne d’Arc

L’épée de Fierbois est une épée associée à sainte Jeanne d’Arc, la célèbre héroïne de la Guerre de Cent Ans et la sainte patronne de la France :

Sainte Jeanne d’Arc a eu une vision divine dans laquelle elle recevait des instructions de Dieu pour mener les troupes françaises à la victoire lors de la Guerre de Cent Ans, un conflit entre la France et l’Angleterre au XVe siècle. Dans cette vision, elle a été informée de l’endroit où se trouvait une épée cachée, qui est devenue son arme sacrée.

Sainte Jeanne se rendit à l’église de Sainte-Catherine-de-Fierbois, dans le village de Fierbois, situé en France. Là, elle a trouvé une épée enfouie derrière l’autel de l’église, comme cela lui avait été indiqué dans sa vision. L’épée était en excellent état et portait l’inscription “De par le roi de France et d’Angleterre, je t’ai faite chevalier.” Elle prit l’épée de Fierbois comme un signe de la faveur divine et l’utilisa dans plusieurs batailles importantes de la Guerre de Cent Ans.

L’épée de Fierbois devint un symbole de la mission de Jeanne d’Arc et de son lien avec Dieu. Elle la portait lorsqu’elle menait les troupes françaises et remportait plusieurs victoires marquantes, notamment la levée du siège d’Orléans en 1429. Sainte Jeanne était convaincue que l’épée lui avait été donnée par Dieu pour accomplir sa mission de libérer la France de l’occupation anglaise.

Cependant, après la capture de sainte Jeanne d’Arc par les Anglais en 1430, l’épée de Fierbois a été confisquée et perdue à jamais. Son destin final est inconnu, et il n’existe aucune preuve tangible de l’existence de l’épée de Fierbois telle que décrite dans la légende. Néanmoins, l’histoire de l’épée de Fierbois demeure un élément fascinant de l’histoire de sainte Jeanne d’Arc, renforçant son image de jeune fille guidée par la foi et la volonté divine pour mener la France vers la victoire.


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