L’épée Joyeuse est entourée de légendes et d’histoires qui varient en fonction des sources médiévales.
Une épée, qui semble-t-il sera la Joyeuse, fait partie des regalia lors du sacre des rois de France. Elles ont été déposées à la basilique Saint-Denis ; puis, épargnée lors de la destruction du sanctuaire par les révolutionnaires enragés, elle fait maintenant partie des collections du Musée du Louvre, à Paris. Elle y est exposée pour la plus grande joie du public. Le pommeau, élément le plus ancien de l’épée, remonterait au Xe ou XIe s, alors que Charlemagne, lui, a vécu entre le VIIIe et le IXe siècle.
Durandal est une épée légendaire qui a joué un rôle majeur dans les épopées de la littérature médiévale, en particulier dans le poème épique “La Chanson de Roland” (La Chanson de Roland) qui raconte la bataille de Roncevaux en 778. Voici quelques détails et anecdotes concernant l’épée Durandal :
Durandal est l’une des épées les plus emblématiques de la littérature médiévale et de la culture chevaleresque, et son histoire est entourée de mystère, de légendes et d’interprétations diverses. Elle est devenue un symbole de la chevalerie française et de la bravoure au fil des siècles.
L’épée de Fierbois est une épée associée à sainte Jeanne d’Arc, la célèbre héroïne de la Guerre de Cent Ans et la sainte patronne de la France :
Sainte Jeanne d’Arc a eu une vision divine dans laquelle elle recevait des instructions de Dieu pour mener les troupes françaises à la victoire lors de la Guerre de Cent Ans, un conflit entre la France et l’Angleterre au XVe siècle. Dans cette vision, elle a été informée de l’endroit où se trouvait une épée cachée, qui est devenue son arme sacrée.
Sainte Jeanne se rendit à l’église de Sainte-Catherine-de-Fierbois, dans le village de Fierbois, situé en France. Là, elle a trouvé une épée enfouie derrière l’autel de l’église, comme cela lui avait été indiqué dans sa vision. L’épée était en excellent état et portait l’inscription “De par le roi de France et d’Angleterre, je t’ai faite chevalier.” Elle prit l’épée de Fierbois comme un signe de la faveur divine et l’utilisa dans plusieurs batailles importantes de la Guerre de Cent Ans.
L’épée de Fierbois devint un symbole de la mission de Jeanne d’Arc et de son lien avec Dieu. Elle la portait lorsqu’elle menait les troupes françaises et remportait plusieurs victoires marquantes, notamment la levée du siège d’Orléans en 1429. Sainte Jeanne était convaincue que l’épée lui avait été donnée par Dieu pour accomplir sa mission de libérer la France de l’occupation anglaise.
Cependant, après la capture de sainte Jeanne d’Arc par les Anglais en 1430, l’épée de Fierbois a été confisquée et perdue à jamais. Son destin final est inconnu, et il n’existe aucune preuve tangible de l’existence de l’épée de Fierbois telle que décrite dans la légende. Néanmoins, l’histoire de l’épée de Fierbois demeure un élément fascinant de l’histoire de sainte Jeanne d’Arc, renforçant son image de jeune fille guidée par la foi et la volonté divine pour mener la France vers la victoire.
Et bien juste pour vous dire que vous faites un travail formidable, saint, j’ai même envie de dire. Je n’ai pour l’instant que deux livres de votre collection mais je compte bien en ajouter d’autres prochainement. Merci car je peux, grâce à vous, approfondir sérieusement mes connaissances avec des livres toutefois très accessibles.
Merci pour votre travail ! Il est précieux !
Merci pour tout, j’adore vos livres.
Merci pour ce travail magnifique qu’est de réhabiliter l’histoire de France
Je veux vous remercier particulièrement pour votre beau et admirable travail d’excellentes publications dont notre foyer bénéficie.
J’aimerais vous remercier, car grâce à vous, je redécouvre (et étudie) avec joie la beauté de l’Histoire de la France, la grandeur de la Fille Aînée de l’Église (qui je l’espère, retrouvera ses lettres de noblesse et sa Foi).
J’ai acheté plusieurs livres de Vox Gallia à la librairie Les Deux Cités à Nancy, et je n’ai pas regretté mes achats.
Continuez à faire de si beaux livres !
Je vous remercie pour votre travail et les ouvrages passionnants proposés
Merci pour votre travail de réédition, je viens de finir le péril cathare que j’ai beaucoup apprécié. Ces lectures me font découvrir à quel point nous avons une belle et grande histoire. Merci à vous.
Merci beaucoup pour votre travail. C’est toujours un plaisir de commander un livre de votre édition !
Des livres de qualité je recommande fortement pour les passionnés d’histoire de France
impeccable pour nos jeunes à qui l’éducation nationale supprime des pans entiers de notre histoire.
Et bien juste pour vous dire que vous faites un travail formidable, saint, j’ai même envie de dire. Je n’ai pour l’instant que deux livres de votre collection mais je compte bien en ajouter d’autres prochainement. Merci car je peux, grâce à vous, approfondir sérieusement mes connaissances avec des livres toutefois très accessibles.
Merci pour votre travail ! Il est précieux !
Merci pour tout, j’adore vos livres.
Merci pour ce travail magnifique qu’est de réhabiliter l’histoire de France
Je veux vous remercier particulièrement pour votre beau et admirable travail d’excellentes publications dont notre foyer bénéficie.
J’aimerais vous remercier, car grâce à vous, je redécouvre (et étudie) avec joie la beauté de l’Histoire de la France, la grandeur de la Fille Aînée de l’Église (qui je l’espère, retrouvera ses lettres de noblesse et sa Foi).
J’ai acheté plusieurs livres de Vox Gallia à la librairie Les Deux Cités à Nancy, et je n’ai pas regretté mes achats.
Continuez à faire de si beaux livres !
Je vous remercie pour votre travail et les ouvrages passionnants proposés
Merci pour votre travail de réédition, je viens de finir le péril cathare que j’ai beaucoup apprécié. Ces lectures me font découvrir à quel point nous avons une belle et grande histoire. Merci à vous.
Merci beaucoup pour votre travail. C’est toujours un plaisir de commander un livre de votre édition !
Des livres de qualité je recommande fortement pour les passionnés d’histoire de France
impeccable pour nos jeunes à qui l’éducation nationale supprime des pans entiers de notre histoire.