Un pape transformé par ordre impérial en valet d’écurie, telle fut l’humiliation que le tyran Maxence imagina pour l’Église.
Marcel la gouvernait sagement. Aux yeux du monarque c’était un crime. Occupé d’abord à combattre ses compétiteurs d’Afrique et d’Italie, il laissa quelque temps les chrétiens en paix, dans le but peut-être de les gagner à son parti en les épargnant.
Le saint Pontife profita de ce répit pour faire d’importantes réformes et organiser la ville de Rome en vingt-cinq paroisses, dont chacune fut confiée à un prêtre qui reçut le nom de Cardinal : d’où l’origine du Sacré Collège. Dès que Maxence croit son pouvoir affermi, jetant le masque, il donne libre cours à sa haine contre la religion chrétienne. Son premier soin est de citer Marcel à son tribunal. Pour le faire apostasier, il met tout en œuvre : douceur, promesses, menaces, supplices. Rien ne réussit. Après avoir employé les fouets, il le condamne à servir dans les étables publiques. Couvert de vieux haillons, réduit à coucher sur la dure, plus mal nourri que les bêtes de somme, le saint pape ne cessait de bénir celui qui, pour nous sauver, ne craignit point, en naissant, l’abjection d’une étable. Il avait passé neuf mois en ce vil exercice, lorsqu’il parvint, une nuit, à s’échapper. Une pieuse chrétienne, nommée Lucine, lui donna un refuge, et sa maison, où les chrétiens s’assemblèrent alors, devint bientôt une des églises paroissiales de Rome.
Maxence ne tarda pas à l’apprendre. Furieux, il médita la plus sacrilège vengeance : sur son ordre on conduisit dans la maison consacrée de Lucine les bêtes que Marcel avait déjà soignées, et le vénérable pontife fut contraint de nouveau à les servir. Cette profanation permanente était pour son âme un supplice mortel, et chaque jour il arrosait de larmes le saint lieu déshonoré. L’infection, le chagrin, les mauvais traitements, ruinèrent bientôt la santé de l’auguste vieillard. Il succomba le 16 janvier 310.
Réflexion pratique — Avec l’Apôtre réjouissons-nous dans les épreuves. Plus on persécute la vertu, plus on la fait resplendir. Maxence voulait humilier St. Marcel : il ne fit que lui donner une plus parfaite ressemblance avec Jésus-Christ, né dans une étable.
En ce temps de défaillances, rien n’est plus propre à relever les courages abattus, à ranimer les âmes énervées, que le spectacle des grandes vertus pratiquées par les saints.
Et bien juste pour vous dire que vous faites un travail formidable, saint, j’ai même envie de dire. Je n’ai pour l’instant que deux livres de votre collection mais je compte bien en ajouter d’autres prochainement. Merci car je peux, grâce à vous, approfondir sérieusement mes connaissances avec des livres toutefois très accessibles.
Merci pour votre travail ! Il est précieux !
Merci pour tout, j’adore vos livres.
Merci pour ce travail magnifique qu’est de réhabiliter l’histoire de France
Je veux vous remercier particulièrement pour votre beau et admirable travail d’excellentes publications dont notre foyer bénéficie.
J’aimerais vous remercier, car grâce à vous, je redécouvre (et étudie) avec joie la beauté de l’Histoire de la France, la grandeur de la Fille Aînée de l’Église (qui je l’espère, retrouvera ses lettres de noblesse et sa Foi).
J’ai acheté plusieurs livres de Vox Gallia à la librairie Les Deux Cités à Nancy, et je n’ai pas regretté mes achats.
Continuez à faire de si beaux livres !
Je vous remercie pour votre travail et les ouvrages passionnants proposés
Merci pour votre travail de réédition, je viens de finir le péril cathare que j’ai beaucoup apprécié. Ces lectures me font découvrir à quel point nous avons une belle et grande histoire. Merci à vous.
Merci beaucoup pour votre travail. C’est toujours un plaisir de commander un livre de votre édition !
Des livres de qualité je recommande fortement pour les passionnés d’histoire de France
impeccable pour nos jeunes à qui l’éducation nationale supprime des pans entiers de notre histoire.
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