Né en 1052 à Melun, son prénom, inconnu en occident chrétien et catholique, tire son origine du monde grec et orthodoxe de sa mère. Roi à seulement huit ans, il fut le quatrième souverain de la dynastie des capétiens directs. Son règne a été l’un des plus long de l’Histoire de France. Couronné du vivant de son père, comme la coutume le voulait, il se fit couronner à Reims le 23 mai 1059 avec l’assentiment du pape Nicolas II et des grands du royaume puis sacrer le 4 août 1060. A la mort de son père, Henri Ier, son oncle le comte de Flandre Baudouin V et sa mère Anne de Kiev allaient exercer la régence et ce jusqu’en 1067. Au cours de son règne, les grandes lignes politiques propres aux futurs souverains capétiens se dessinaient. Consolider la puissance royale tout en contenant celle des grands vassaux du royaume était une priorité pour le roi des francs. Pour asseoir sa puissance, il agrandit le domaine royal et conquiert le Vermandois, le Gâtinais, le Vexin français et racheta la vicomté de Bourges.
Son règne fut surtout marqué par sa lutte contre le redoutable Guillaume le Conquérant, duc de Normandie et désormais roi d’Angleterre. Des alliances vont alors naître avec le comte d’Anjou et le comte de Flandre notamment.pour contrer ce rival si puissant. En 1072, il épousa Berthe de Hollande pour consolider son alliance avec la Flandre. En 1076, Philippe Ier va connaître sa première grande victoire contre Guillaume le Conquérant, à Dol en Bretagne à la suite de quoi le puissant roi d’Angleterre renonça à la Bretagne. Mais la menace anglo-normande était toujours présente. A la mort de Guillaume le Conquérant, Philippe Ier aida Robert Courteheuse, le fils aîné du roi d’Angleterre, à récupérer la couronne anglaise à son frère et héritier Guillaume II le Roux. En représaille, Guillaume le Roux tenta de reprendre le Vexin français au roi des francs mais les campagnes militaires échoueront.
En 1092, lassé par sa première épouse, Philippe Ier fit enlever la belle Bertrade de Montfort déjà mariée au comte d’Anjou. Il répudia sa femme légitime et épousa la belle Bertrade. Ce qui ne fut pas du goût du pape Urbain II. Le roi des francs sera excommunié et frappé d’anathème. En 1095, Urbain II, prêcha la première croisade à Clermont en l’absence de Philippe Ier qui ne participa pas à la croisade contrairement à son frère Hugues de Vermandois, qui en sera un illustre acteurs. De 1100 à 1104, Philippe Ier se réconcilia avec la papauté et finit par être absous en 1104. En 1107, le pape Pascal II se rendit en France et rencontra Philippe Ier et son fils le futur Louis VI le Gros à Saint Denis. Pour limiter la puissance impériale, une alliance indéfectible fut alors conclue entre le royaume de France et la papauté. Le 29 juillet 1108, Philippe Ier mourut au château royal de Melun. Conscient de ses fautes au cours de son règne, il demanda à ne pas être enterré à Saint-Denis comme ses ancêtres mais plutôt dans l’abbaye de Fleury à Saint-Benoît sur Loire. Son épouse Bertrade de Montfort, âgé de seulement trent-huit ans, prit alors le voile à l’abbaye de Fontevraud.
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